Aujourd’hui, nous faisons le point sur « d’où viennent les bébés ? » Les bébés-projets-d’écriture bien sûr !

Cette question me fait sourire et me rappelle ce moment où on essaie d’expliquer aux enfants la magie et la science de la reproduction humaine.

En même temps, l’analogie est juste parfaite !

Car nos rêves d’écriture sont d’abord conçus en nous,
Puis portés en nous,
Avant de naître au monde où ils deviennent des projets d’écriture, portés par nous ET par d’autres (triés sur le volet),
Avant d’être, enfin, réalisés et publiés = autonomes, fantastiquement inspirants et utiles !

Donc aujourd’hui, nous parlons de cette toute première étape : « pourquoi rêve-t-on d’écrire ? » ou « d’où viennent nos rêves d’écrire ? »
Histoire de remettre le doigt, le cerveau et le cœur sur les trois éléments qui initient l’étincelle :
– une incroyable rencontre
– un moment absolument précieux
– des matières premières compatibles et indispensables qui sont déjà là, disponibles, connues.

Une incroyable rencontre

Nous vivons. Expérimentons. Grandissons.

Arrive un moment où nous vivons une incroyable rencontre. Avec une personne. Avec un partage. Avec une histoire. Et ce récit fait vibrer quelque chose en nous. Il nous nourrit intellectuellement et nous émeut au plus profond de nous-mêmes.

Un moment absolument précieux

Précieux parce qu’il est extraordinaire = il sort de l’ordinaire.

Précieux parce qu’il produit un déclic en nous = une envie de nous mettre en action.

Il est un élan, une leçon de vie, un plaisir sans nom, une découverte grisante ou révoltante. Il est un instant unique qu’on va vouloir reproduire, offrir à vivre aux autres ou, au contraire, dont on va vouloir protéger le reste du monde.

Des matières premières déjà présentes

De nos émotions, de notre ressenti, de cet élan, une idée vient juste de germer. Et nous découvrons que nous avons déjà quelques pièces du puzzle, quelques ingrédients pour la recette, quelques notions pertinentes… bref des matières premières déjà disponibles en nous, maîtrisées ou balbutiantes.

Cela suffit : le rêve nait. Il fait la taille d’une petite framboise. Il est au chaud, bien au chaud en nous et il porte un petit nom qui se glisse tout simplement derrière la phrase : « Waouh, ce serait tellement génial si, un jour, j’écrivais…xxxxxxxxx ! »

Peut-être est-ce un livre professionnel ou une fiction

Peut-être est-ce une formation géniale sur votre métier ou autour de votre passion

Peut-être est-ce une série de publications très courtes, de nouvelles ou de citations

Qu’importe.

Votre rêve est né. Il porte un petit nom trop mignon. Et il vibre en vous, au rythme des battements de votre coeur.

Que faire ?

Prenez quelques secondes pour vous connecter à votre rêve et pour retrouver les trois éléments qui l’ont conçu en vous.

Et réalisez que vous êtes en gestation = que vous êtes rêveur-et-porteur d’un truc magique et prometteur.

Enfin, parlons-en (en MP, en commentaires, pendant les mugs des passionnés).

Prochaine article : je vous explique comment ce rêve d’écrire est en train de grandir en vous. Sans que vous lui accordiez beaucoup de temps. « A l’insu de votre plein gré » 🤫😁

Caroline
Semeuse de graines et d’étincelles

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